Zones de crise et de conflit : la santé mentale préoccupe l'extrême-nord

    Traumatisme mental, stress, détresse, troubles mentaux sont entre autres  indicateurs d'un mauvais état de santé mentale. Et de telles situations sont très fréquentes dans les zones de crises et de conflits à l'exemple de l'Extrême-Nord, victime des catastrophes naturelles et des conflits divers. C'est ce qui justifie l'atelier de réflexion  qui se déroule ce jour à Maroua. Sous la coordination de Emmanuel Taye, représentant du délégué régional de la Santé publique. L'atelier regroupe les autorités militaires, les sapeurs pompiers, les responsable des organisations humanitaires et ceux de la société civile. Les échanges portent sur les préoccupations relatives aux interventions d'urgence sur les cas de santé mentale, surtout en zones de crise. D'après la coordonnatrice de l'association Opsycours, Monique Ngo Baha, porteuse de cette initiative, il est question de réfléchir pour trouver des solutions dans le but de prévenir les maladies mentales d'une part et de réduire les souffrances des victimes d'autre.  Au finish, pour plus d'efficacité, l'objectif est de mettre sur pied des cellules d'intervention d'urgence psychologique dans la région de l'Extrême-Nord voire au niveau national.


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