Au cœur de Sambolabo, une ville du département camerounais du Mayo Banyo, un lourd parfum de deuil et d’injustice flotte dans l’air. Un homme qui essayait simplement de faire valoir son droit à la sécurité a été brutalement assassiné – non pas par des criminels, mais par ceux qui étaient censés le protéger.
La quête de justice vire au cauchemar
M. Hamidou, un habitant du quartier, avait récemment été victime d’un vol à domicile. Après avoir identifié les auteurs, il s’est rendu au poste de police local pour porter plainte. Cependant, au lieu d’obtenir justice, il a été accusé de possession illégale d’un fusil de chasse – une accusation qu’il a niée avec véhémence.
Un civil innocent torturé
M. Hamidou a été détenu par la police toute la journée et a finalement été emmené au centre médical de Sambolabo dans un état critique. Il a été déclaré mort peu de temps après son arrivée là-bas. Les blessures sur son corps racontent une histoire troublante de torture soi-disant infligée par ceux qui étaient censés protéger et servir.
Un cri pour la justice
Cet incident alarmant soulève des questions pressantes sur la sécurité des citoyens camerounais, en particulier alors qu’ils demandent justice. Le site Web 237online.com continuera de suivre cette histoire, soulignant la nécessité d’une réforme de la justice et de la police à Sambolabo et au-delà.
Le peuple camerounais mérite justice. Ils méritent de se sentir en sécurité chez eux, dans la rue et dans les postes de police. Et surtout, ils méritent que des histoires comme celle de M. Hamidou ne se répètent plus jamais.
