La vente illicite de médicaments en région de l’Ouest se poursuit sans relâche, malgré les avertissements répétés des autorités sanitaires.
Ce commerce illégal, mené par des personnes sans formation ni qualification médicale, constitue un véritable fléau pour la population de la région, qui se trouve exposée à des produits potentiellement dangereux pour la santé.
Des instructions fermes du gouverneur pour freiner ce commerce
Le mardi 31 janvier dernier, le gouverneur de la région de l’Ouest, Augustine Awa Fonka, a adressé une correspondance aux maires et aux préfets de la région pour les interdire de donner des espaces marchands aux opérateurs économiques impliqués dans ce commerce illégal. Ce message met également en garde les maires et les préfets sur les sanctions qui seront prises à l’encontre des occupants illégaux des espaces marchands.
La situation sur le terrain
Malgré cette correspondance, la vente illicite de médicaments se poursuit, les acheteurs ayant toujours recours à ces « docta » des marchés, des rues et des quartiers, au péril de leur vie. Il est temps que les autorités sanitaires prennent des mesures concrètes pour éradiquer ce commerce illégal, qui nuit gravement à la santé publique.
La nécessité d’une action rapide
Le gouverneur de la région de l’Ouest a pris des mesures fortes pour lutter contre la vente illicite de médicaments, mais il est nécessaire d’agir rapidement pour éradiquer ce fléau. Les maires et les préfets doivent prendre leurs responsabilités pour faire respecter ces instructions, afin de protéger la santé des populations de leur région. Il est temps que les acheteurs cesse de prendre des risques inutiles en achetant des médicaments auprès de personnes malveillantes.