L''hôpital laquintinie dément la mort d'une patiente des suites de manque d' oxygène

Dans une mise au point, l’hôpital Laquintinie de Douala dément la mort d’une patiente qui était admise dabs ses services des suites d’un manque d’oxygène.

 

La direction de l’établissement public de santé souligne que la patiente âgée de 18 ans a été bien prise en charge par les équipes. Son décès est survenue deux jours plus tard.

« La patiente est arrivée le 21 juin 2023 à 19h 30 minutes à l’Hôpital Laquintinie. Elle a immédiatement été prise en charge par nos équipes. Elle rendra malheureusement l’âme deux jours plus tard, le 23 juin 2023, à 7h 30 minutes, au regard du stade avancé et la gravité de sa pathologie, car arrivée tardivement à l’Hôpital. L’Hôpital Laquintinie tient à préciser que cette pathologie ne nécessitait aucunement une Oxygénothérapie. La patiente a reçu tous les soins indiqués, et son décès ne saurait être attribué à un défaut technique quel qu’il soit, mais plutôt à la gravité de son affection », lit-on dans la mise au point.

MISE AU POINT

 

Une patiente n’est pas décédée des suites de manque d’oxygène dû à une coupure électrique.

Contrairement aux informations relayées dans les réseaux sociaux, faisant état du décès à l’Hôpital Laquintinie de Douala de la nommée Merveille Fangoua, 18 ans…

Ces informations font état de ce que la mort est survenue des suites d’un manque d’oxygène dû à une coupure électrique, la Direction de l’Hôpital tient à apporter les précisions suivantes.

– La patiente est arrivée le 21 juin 2023 à 19h 30 minutes à l’Hôpital Laquintinie.
– Elle a immédiatement été prise en charge par nos équipes.

– Elle rendra malheureusement l’âme deux jours plus tard, le 23 juin 2023, à 7h 30 minutes, au regard du stade avancé et la gravité de sa pathologie, car arrivée tardivement à l’Hôpital.

– L’Hôpital Laquintinie tient à préciser que cette pathologie ne nécessitait aucunement une Oxygénothérapie. La patiente a reçu tous les soins indiqués, et son décès ne saurait être attribué à un défaut technique quel qu’il soit, mais plutôt à la gravité de son affection.


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