des vents.
Njalla Quan FC est la meilleure équipe régionale dans le Sud-Ouest. Elle est qualifiée pour les barrages. Depuis les dénonciations confidentielles de son Président, une vendetta va s’organiser contre l’équipe. Elle va se voir infliger la bagatelle de 5 cartons rouges, 6 cartons jaunes. 3 penaltys vont être accordés à l’équipe adverse, Kumba City FC. Tout ceci devant le Président de la Fécafoot qui jouissait du travail de son trio arbitral. Malgré cet arbitrage scandaleux, aucun de ces arbitres n’a été suspendu.
Manigances, manipulations
La fédération est devenue un objet de pouvoir au service d’un seul individu, Samuel Eto’o Fils.
Ce samedi, la Fécafoot annonce que son Comité d’Urgence a suspendu Henry Junior Njalla Quan, le 4ème vice-président de l’instance.
On accuse le fondateur de Njalla Quan FC d’avoir violé l’esprit de l’article ses agissements contraires aux statuts de la Fecafoot selon le communiqué de l’instance. La prochaine réunion du Comité Exécutif devrait confirmer cette suspension et certainement y ajouter d’autres sanctions.
Article 42 : Obligation de réserve et de loyauté
- Tout membre du Comité Exécutif est astreint au devoir de réserve, de solidarité et à la confidentialité. Seul le Président de la FECAFOOT ou une personne déléguée par lui est à même de parler officiellement au nom de la FECAFOOT.
- Toute violation des obligations citées ci-dessus constitue une infraction disciplinaire passible de sanctions prévues par les Statuts, codes et règlements de la FECAFOOT.
Cet article 42 sert depuis la prise de fonction de Samuel Eto’o à exclure tous ceux qui s’opposent à ses idées. Il devait servir à sauvegarder les intérêts de la fédération. La confusion vient du fait que la Fécafoot agit comme s’il s’agissait de loyauté envers son Président.
