Depuis un certains temps, des cris de détresse retentissent de plus belle à la Société sucrière du Cameroun, où plusieurs employés font face à de nombreux obstacles à leur épanouissement et à leur promotion professionnelle. De nombreux témoignes y affluant font état de ce que, plusieurs seraient contraient à « tremper » soit dans des loges ésotériques, soit dans l’homosexualité pour se faire véritablement une place au soleil. Dans ce dilemme à haute pression, la méritocratie et la compétence sont reléguées au dernier plan. Une image qui pousse davantage la jeunesse camerounaise piégée par ces pratiques malsaines, à ne plus s’en gager sur le marché du recrutement dans certaines grandes entreprises.Il n’est plus évident de rêver occuper un poste décisionnaire du moins, de cadre à la Société sucrière du Cameroun (Sosucam). En effet, selon des sources dignes de foi, la maison serait devenue un sanctuaire des pratiques malsaines à l’attention notamment, des jeunes en quête d’un mieux être ou d’un confort professionnel. La courbe d’évolution socio-professionnelle de cette entreprise parapublique est vertigineuse et pousse beaucoup de jeunes à enterrer comme l’employé dans les Saintes écritures, leurs talents.Mais seulement, les conditions de vie et la conjoncture étant devenues difficiles, certains n’hésitent pas à donner ce qu’ils ont parfois de plus précieux, pour faire parti de la longue liste de « perdus » qui ont pris la société en otage. Entre sectarisme, homosexualité et promotion canapé, les employés ont le choix mais le bon choix serait devenu une véritable richesse dans la maison.Selon un cadre originaire de la région du Sud approché, les faits sont là, la Sosucam au jourd’hui, a bien perdu le peu de moralité qui lui restait et la course à l’enrichissement personnel par tous les moyens serait devenu assimilable à la course aux armements d’avant Seconde guerre mondiale.« Depuis que je suis Depuis un certains temps, des cris de détresse retentissent de plus belle à la Société sucrière du Cameroun, où plusieurs employés font face à de nombreux obstacles à leur épanouissement et à leur promotion professionnelle.De nombreux témoignes y affluant font état de ce que, plusieurs seraient contraient à « tremper » soit dans des loges ésotériques, soit dans l’homosexualité pour se faire véritablement une place au soleil. Dans ce dilemme à haute pression, la méritocratie et la compétence sont reléguées au dernier plan. Une image qui pousse davantage la jeunesse camerounaise piégée par ces pratiques malsaines, à ne plus s’en gager sur le marché du recrutement dans certaines grandes entreprises.Il n’est plus évident de rêver occuper un poste décisionnaire du moins, de cadre à la Société sucrière du Cameroun (Sosucam). En effet, selon des sources dignes de foi, la maison serait devenue un sanctuaire des pratiques malsaines à l’attention notamment, des jeunes en quête d’un mieux être ou d’un confort professionnel. La courbe d’évolution socio-professionnelle de cette entreprise parapublique est vertigineuse et pousse beaucoup de jeunes à enterrer comme l’employé dans les Saintes écritures, leurs talents.Mais seulement, les conditions de vie et la conjoncture étant devenues difficiles, certains n’hésitent pas à donner ce qu’ils ont parfois de plus précieux, pour faire parti de la longue liste de « perdus » qui ont pris la société en otage. Entre sectarisme, homosexualité et promotion canapé, les employés ont le choix mais le bon choix serait devenu une véritable richesse dans la maison.Selon un cadre originaire de la région du Sud approché, les faits sont là, la Sosucam au jourd’hui, a bien perdu le peu de moralité qui lui restait et la course à l’enrichissement personnel par tous les moyens serait devenu assimilable à la course aux armements d’avant Seconde guerre mondiale.« Depuis que je suis entré dans cette entreprise il y’a de cela 7 ans, je n’ais jamais eu de promotion et pourtant, certains de mes collègues qui sont entrés par moi 3 ans plus tard, ont déjà bénéficié des promotions de plusieurs ordres. A chaque fois que je demande à la hiérarchie pour essayer de voir clair dans cette affaire, on me fait toujours savoir à travers un collègue qui m’est proche, que j’ai toujours refusé d’opérer le meilleur, celui de la fraternité qui illumine tous les hommes. En réalité, un cercle ésotérique très encré a pris la maison en otage », fait savoir le jeune homme, ému de pouvoir en parler avec un media, quoique dans l’anonymat.entré dans cette entreprise il y’a de cela 7 ans, je n’ais jamais eu de promotion et pourtant, certains de mes collègues qui sont entrés par moi 3 ans plus tard, ont déjà bénéficié des promotions de plusieurs ordres. A chaque fois que je demande à la hiérarchie pour essayer de voir clair dans cette affaire, on me fait toujours savoir à travers un collègue qui m’est proche, que j’ai toujours refusé d’opérer le meilleur, celui de la fraternité qui illumine tous les hommes. En réalité, un cercle ésotérique très encré a pris la maison en otage », fait savoir le jeune homme, ému de pouvoir en parler avec un media, quoique dans l’anonymat.
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