[Éducation]43% d'élèves ont des difficultés en mathématiques

La subvention que le ministre des finances est chargé de débloquer sera étalée sur cinq années (de 2022 à 2026). C’est sans doute une des conséquences de la hausse des prix des produits notamment les aliments importés. Le blé qui fait partie de cette liste donne littéralement des insomnies à ceux des opérateurs économiques qui s’en servent au Cameroun. Les autorités camerounaises semblent vouloir aider à produire cette précieuse denrée sur place. La preuve par cette correspondance du ministre d’Etat secrétaire général de la présidence frappée du sceau « très urgent » datée du 5 Juillet 2022 et adressée au ministre des finances. Il avait en objet : « développement de la production et de la transformation du blé au Cameroun ». Le secrétaire général de la présidence de la République du Cameroun Ferdinand Ngoh Ngih écrit à l’intention de Louis Paul Motaze : « J’ai l’honneur de vous répercuter les très hautes instructions de monsieur le président de la République prescrivant d’octroyer, sur une période de cinq ans à l’Institut de Recherche Agricole pour le Développement (IRAD) d’une subvention d’un montant global de dix milliards trois cent millions (10 300 000 000) de FCFA dédiée au développement de la production et de la transformation du blé au Cameroun ».


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