Le commandant J-Boy, un redoutable chef de guerre du département du Boyo (Région du Nord-ouest) a été tué mardi matin, par les éléments du bataillon d’intervention rapide (Bir). Présents au moment de l’embuscade, deux de ses combattants ont également été passés par les armes, a appris panorama papers.
Il y a une dizaine de jours, alors qu’ils allaient inaugurer un camp du bataillon d’intervention rapide à Mbengwi, un convoi de cette force spéciale avait sauté sur un engin explosif improvisé, en laissant de nombreux soldats, dont un lieutenant sur le carreau.