Mamadou mota à andré luther meka : ‹‹ a-t-on besoin de pratiquer sur toi ››
Le premier vice-président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun Mamadou Mota affirme que Luther André Meka confond tout simplement l’inculture et les attaques mystiques. Mamadou Mota pense que Luther André Meka n’a pas été victime d’attaque mystique. Il est juste en train de confondre inculture et attaques mystiques. «Quand on a été idiot à l’école et que l’entrée dans une école comme l’ENSET à été rendue possible grâce aux recommandations, c’est normal de confondre inculture et attaques mystiques. Tu es colocataire à Yabassi ou tu a été incapable de te payer un loyer digne. Par pure tribalisme tu te retrouves à l’université à Douala ou sous l’exploit de tes diatribes de chaque soir sur des chaînes qui ont fait ta promotion, tu veux nous faire croire que tu es attaqué. A t-on besoin de pratiquer sur toi? La nature l’a déjà fait…Sur ce, l’idiotie n’est pas un sort», a-t-il écrit sur sa page Facebook. Rappelons qu’après son passage sur le plateau télévisé de Canal presse dimanche passé, Luther André Meka a indiqué à ses followers avoir été victime d’une attaque mystique. «Chers Camarades. J’ai été victime d’une attaque mystique en plein canal presse. Plus de peur que de mal. Aucune barrière ne pourra me faire reculer», a-t-il écrit sur sa page Facebook. Le militant du RDPC Luther André Meka a reçu à la suite de sa publication, le soutien de certains de ses amis comme le journaliste Luc Perry Wandji, qui a condamné l’attaque mystique. «Mon cher ami et frère de vingt ans, Luther André Meka, j’ai appris, choqué, que tu as été mystiquement attaqué en plein débat télé. Je ne peux pas accepter ça. Je ne peux rester insensible, devant la gravité des FAITS. Je condamne cette attaque avec la dernière énergie, et me réserve le droit de poursuivre ses auteurs devant le tribunal divin», a-t-il écrit. Voulant rassurer ses followers, Luther André Meka dans une autre publication a déclaré aller bien et être prêt à poursuivre la mission de défense le Chef de l’Etat.