L'artiste Justice Beyene menacé de mort par Longue Longue .

Le soutien de la candidature de Paul Biya par les artistes ne cesse de faire couler de l’encre sur la toile et prend définitivement une autre tournure. Une sortie assez surprenante venant de l’auteur du titre à succès « Ayo Africa ». L’artiste Longue Longue dans une lettre publiée par les confrères du Quatrième Pouvoir sur la toile a ouvertement menacé de mort l’artiste Justice Beyene. Longue accuse l’artiste Justice Beyene d’avoir tenu des propos mensongers et provocateurs à son encontre dans une de ses chansons. Il affirme que le chanteur dans son œuvre veut semer le doute et la confusion dans les esprits de ses fans. Ainsi pour mettre fin à toute cette manipulation, celui qui se fait appeler « le Libérateur » a écrit une lettre de menace de mort à Justice Beyene. Ci-dessous la lettre… À l'attention de l'artiste Justice Beyene Je n'ai pas besoin de passer par une quelconque vidéo ou message audio pour exprimer ma colère à ton encontre suite à tes propos de nature à semer le doute et la confusion dans les esprits de mes nombreux fans, dans ta chanson où tu loues carrément un vieillard de 85 ans qui torture le peuple depuis 36 ans. Non sans chercher le fondement de mon problème, tu t'es empressé de parler de moi. Pour ton information, Paul Biya n'a rien fait pour ma libération, bien plus, son gouvernement ne s’est moqué de moi pendant mon incarcération. Face à la gravité de ta provocation dans ladite chanson, comme tu te crois à labrit de tout et eu égard de mon engagement politique derrière l'opposition camerounaise, je t'annonce que je mettrai tous les moyens en œuvre pour te torturer physiquement, jusqu'à ce que mort s'en suive. Je me rassurerai que tu ais payé le prix de ce que tu cherches derrière moi, rassure-toi, je m'en tirerai d'affaire après t'avoir guillotiné et rien ne pourrait m'arriver. Je suis fatigué de me laisser faire. Parfois il faut passer par ces moyens pour affirmer sa grandeur, j'accepte d'être fou, ingrat et tout ce que vous voulez. Si tu ne te ravises pas en me présentant publiquement des excuses, je n'hésiterai pas d'exécuter ma décision sus-évoquée dans les jours qui suivent.


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