L'artiste blanche bailly accusée de recel et interpellée par la police

Tirez-moi, nous sommes en live, vous avez dit que vous allez me brutaliser, brutalisez-moi avec mon enfant, il n’y a pas de souci, mais moi, je ne quitte pas d’ici sans qu’il n’y a pas des gens. Parce que je n’ai rien fait, je n’ai pas volé, vous venez chez moi et me demander de vous suivre, je ne vous connais pas et je ne sais pas pourquoi vous voulez m’embarquer. Donc, vous ne pouvez pas venir chez moi pour m’embarquer.” La scène se passe devant les yeux medusés de son fils. Blanche Bailly sa mère est interpellée et celà se passe en même temps direct sur sa page Facebook où sont scotchés de milliers d’abonnés. Selon ce que rapporte la presse , l’artiste aurait été impliquée dans une affaire de recel. Elle aurait achetée en affaire un frigorificateur et cela aurait mal tournée. Si l’artiste a été finalement libérée par les agents de police , elle aurait selon nos informations par ailleurs traités ces derniers de ”Ambaboys ” du nom des séparatistes sécessionnistes sevissants dans les régions en guerre dans les régions camerounaises du Nord-ouest et du Sud-Ouest. L’artiste aurait été bléssée parceque traînée au sol par les agents de la police révèle le site d’informations en ligne ”griote”, qui fait lire par ailleurs que avant son départ pour l’extérieur du Cameroun , la chanteuse camerounaise avait acquis un ”frigo” et quelques temps après aurait reçue un appel téléphonique lui enjoignant de le restituer. Chose à laquelle elle ne va pas se plier , exigeant que lui soit rendue son ” argent d’abord”.Une situation un peu confuse qui fera croire à certains que Blanche Bailly serait impliquée dans des affaires illicites. Une version rapidement clarifiée après que la version sur le frigorificateur acheté en recel ne soit dévoilé. Aux dernières nouvelles l’artiste camerounaise serait repartie du commissariat central de la ville de Buéa dans le sud-ouest du Cameroun où elle avait été embarquée fougueusement par la police avant d’être libérée.


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