[Faits divers ]Trois trafiquants d'ossements humains mis aux arrêts à yaoundé
Ils étaient en possession de 14 os lorsqu’ils ont été interpellés par l’autorité judiciaire, a appris Lebledparle.com de Crtv.Aperçu du quartier Mfandena (c) Droits réservés Le malheur des uns fait le bonheur de autres. Cet adage vieux plus que le monde illustre mieux l’attitude qu’adoptent certaines personnes à l’égard des morts qui ne sont plus respectés de nos jours.Lorsque leurs obsèques ne sont pas transformées en une véritable cérémonie festive, c’est une occasion pour bon nombre de se tisser de bonnes affaires autour.Le mort, selon les mœurs, est enveloppé dans un drap puis enterré dans une fosse d’à peine un mètre pour les uns, ou alors mis dans un cercueil et enterré dans un tombeau généralement luxueux pour d’autres. Toutefois, quel que soit le cas, les exhumeurs de tombes parviennent par une alchimie dont eux-seuls détiennent le secret, à effectuer leur besogne et les faits sont visibles. Une autre interpellation de trafiquants d’ossements humains C’est le cas des trois trafiquants d’ossements humains qui ont été interpellés par la police judicaire au quartier Mfandena à Yaoundé le 26 décembre 2019. Trois trafiquants d'ossements humains aux arrêts depuis le 26 décembre au quartier Mfandena à Yaoundé, à la suite d'une opération de la Direction de la Police Judiciaire. Ils étaient en possession de 14 os.47 personnes parlent à ce sujet.Trois trafiquants d'ossements humains aux arrêts depuis le 26 décembre au quartier Mfandena à Yaoundé, à la suite d'une opération de la Direction de la Police Judiciaire. Ils étaient en possession de 14 os. Selon Crtv Web, au moment où les trafiquants sont interpellés à la suite d’une opération menée par la Police judiciaire, ils détiennent 14 os humains. Un cas parmi tant d’autres… De mémoire, l’un des cas les plus récents remonte à la matinée du 12 avril 2019 où les éléments de la division régionale de la police judiciaire de l’Adamaoua (DRPJ/A) ont mis la main sur un stock de 58 ossements humains au quartier Mbideng, dans la ville de Ngaoundéré, chef-lieu de la Région de l’Adamaoua.Selon des sources proches de l’enquête conjointement ouverte par la DRPJ/A et la compagnie de gendarmerie de Ngaoundéré, « Les restes mortuaires précipitamment abandonnés par une dame appartiennent à un individu de sexe féminin dont l’âge est estimé à 16 ans » par ailleurs, « Le crâne de l’individu présentait des lésions ayant probablement entraîné sa mort », a appris Lebledparle.com.Le phénomène prend de l’ampleur et mérite encore plus d’attention pour l’éradiquer si tant est que le véritable tombeau des morts c’est dans le cœur des vivants comme l’affirmait Jean Cocteau.