[Faits divers ]La journaliste Carole Yemelong quitte canal 2

Dans un texte que vient de publier cette dernière sur sa page Facebook, elle donne les raisons de ce départ. Ici son texte « Bonjour à tous. J’ai dirigé ce matin, ma dernière conférence de rédaction à Canal 2 International. Et je passe avec vous ma dernière journée de travail ici. Il n’est plus un secret pour personne que j’ai été souffrante ces derniers mois. J’ai eu du mal à récupérer. Le stress, la fatigue de ces années de boulot ont eu raison de mon état de santé et de ma volonté de fer. Je suis obligée de marquer une pause et de réorienter ma carrière. Ces dix dernières années passées à Sweet Fm et Canal 2 ont été pour moi des années d’accomplissement. J’ai pu, avec le concours de chacun d’entre vous, vivre des moments exaltants dans ce métier que nous aimons tous. C’est l’occasion pour moi de vous dire merci. Infinie gratitude… À Emmanuel Chatue qui me fait une confiance presqu’aveugle. Pdg, vous m’avez permis de repousser mes limites, de réaliser ce dont je ne me croyais pas capable. Tour à tour rédacteur en chef de Sweet fm, Coordonnateur de la Production, Directeur des programmes, cumulativement depuis septembre 2018, avec les fonctions de Rédacteur en chef de Canal 2 International , et présentatrice depuis 2013, de prestigieux programmes phares de la chaîne… Je ne pouvais rêver de mieux. Merci de vos précieux conseils et leçons de vie. Je sais que je vais continuer à en bénéficier…. À Colette Chatué. La Directrice des Opérations. Dans l’ombre, elle m’a été de précieux conseils et d’un soutien sans faille. Surtout dans des moments décisifs. Elle a su me rappeler qu’une femme n’a le droit d’échouer que si elle a tout donné pour réussir. Merci aussi pour cette présence. Vous êtes l’âme de cette chaîne. À Joseph Fotso. Mon Dg. Mon n+1. Le Mourihno ( pour moi c’est le meilleur entraineur de foot de tous les temps des Dg. Devenu mon grand frère au fil de cette collaboration. Merci d’avoir fait en sorte que je donne le meilleur de moi. Vous qui croyiez en moi, même quand moi-même je n’y croyais plus. Merci pour la.patience, les encouragements quand, comme tout humain, je cumule les erreurs. À Abel Fotso. Le premier à éprouver mes qualités ( si tant est que j’en ai) de manager. Vous avez su me soutenir surtout au creux de la vague. Et parfois quand au bout du rouleau, j’étais prête à abdiquer.


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