Droit d'auteurs : l'artiste lady ponce du feu sur la sonacam

La Société Nationale Camerounaise de l’Art Musical (SONACAM) réclame 400 000 FCFA de redevance due au titre de droit d’auteur à Planète Ponce, lieu de divertissement appartenant à Lady Ponce. Un lieu où on diffuse uniquement les chansons de Lady ponce. Lire ici le récit de Lady Ponce : La Sonacam, la Société Nationale Camerounaise de l’Art Musical, en abrégée, Sonacam, qui me spolie profondément depuis des années et qui m’a rarement donné ou presque jamais, mes droits d’auteur est venue laisser une facture de 400.000 FCFA, en relation avec les droits d’auteur au sein de mon complexe. J’hallucine ou c’est de la sorcellerie ? C’est uniquement ma musique qui est distillée dans mon complexe à longueur de journée et les artistes que j’invite pour la promotion de la culture sont payés à mes frais. Depuis des années, vous vous êtes assis sur les millions que vous me devez en termes de droits d’auteurs et je n’ai pas revendiqué un centime. Cette année, lors de la redistribution des droits d’auteur, une fois de plus, je ne suis apparue nulle part sur vos listes. Alors que mes œuvres sont distillées sur tous les coins du triangle national et au- delà. Vous prenez un sadique plaisir à détruire les créateurs des œuvres de l’esprit et leurs talents. La mendicité des artistes et leurs misères vous plaît, vous y trouvez un délice particulier, aucune limite, aucune humanité, soit. Malgré tout, pour la promotion de la culture Camerounaise et africaine ,en tant qu’artiste au premier chef et entrepreneure battante avec mes propres moyens, la construction du complexe Planète PONCE a été possible et aide de jeunes Camerounais et Camerounaises à vivre décemment et à lutter contre le chômage. Mais vous n’en avez cure malheureusement. Tout pour vous et rien pour les autres, vils charognards. Ai-je reçu le moindre Copec de la Sonacam qui ait contribué à la construction de l’édification de mon complexe Planète Ponce ? Des frais qui seraient issus de mes droits d’auteur ? Jamais. Est-ce que le ministère des arts et de la culture ou une institution particulière m’a aidée ? Aucunement Aucune politique culturelle, aucune valorisation de l’artiste Camerounais comme ailleurs. Et vous osez mettre vos pieds dans l’enceinte de mon établissement culturel. Incroyable. J’ose croire que les apprentis sorciers qui ont écrit ce torchon de reçu pour me réclamer de l’argent sont bien assis, aussi pour me payer tous les droits d’auteur que vous me devez depuis des années. Défalquez bien ce que vous vous voulez bande de sales de vautours. Parce que mon conseil et moi, nous prenons la calculatrice et l’élan pour la réclamation de mes droits d’auteur et je vous assure la facture là, sera véritablement salée. Le silence et la modération ne sont pas des signes de faiblesse.


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