Le 23 septembre dernier, la région du Sud du Cameroun a été secouée par le meurtre brutal d’une enseignante de Mvomeka’a. Depuis lors, les autorités ont travaillé sans relâche pour élucider cette affaire tragique et traduire les responsables en justice.
Selon les informations révélées par l’activiste N’zui Manto, l’enseignante portée disparue a été victime d’un assassinat à la machette et son corps a été enterré dans une broussaille à Mvomeka’a. Les recherches menées par la famille de l’enseignante, relayées sur les réseaux sociaux, ont permis à la gendarmerie de mettre la main sur un individu récemment libéré de prison, qui a avoué avoir commis le crime. Selon des sources, cet homme serait membre d’un réseau de trafic d’organes.
Cependant, près de deux semaines après cette découverte macabre, les autorités sont toujours à la recherche d’un complice présumé de l’assassinat. L’activiste N’zui Manto indique qu’un certain Anaba Mbida Samuel, également récemment libéré de prison, est soupçonné d’être impliqué dans cette affaire. Les gendarmes ont interpellé le grand-père de Samuel, âgé de soixante-dix ans, dans l’espoir qu’il révèle l’endroit où se trouve son petit-fils. Cependant, le suspect reste introuvable jusqu’à présent.
Cette affaire soulève des questions sur la responsabilité et les conséquences des actes criminels. Le fait que le grand-père soit lui-même en détention pour le crime présumé de son petit-fils est une illustration tragique de l’impact dévastateur que peuvent avoir les actions d’une personne sur ses proches.
Souce : CA