Joshua osih : ‹‹ il n'y a rien de pire que le terrorisme ciblant l'éducation ››
Le premier vice-président du Social démocratic front (Sdf) condamne l’assassinat des élèves et d’un enseignant dans un établissement scolaire ce mercredi à Ekondo Titi. L’on a enregistré des violences meurtrières ce mercredi 24 novembre 2021 à Ekondo Titi. C’est une ville de la zone côtière et une commune du Cameroun située dans la région du Sud-Ouest et le département du Ndian. En effet, trois adolescents et une enseignante ont été tués dans l’attaque de leur école dans cette localité. L’incident malheureux a eu lieu dans un établissement privé. Pour le moment, l’attaque, perpétrée par plusieurs hommes armés, n’a pas été revendiquée. Des témoins sur place mettent en cause les séparatistes. Depuis l’arrivée de cet incident malheureux, nombreux sont des camerounais qui expriment leur ras-le-bol. Nos prières Cela est vrai avec la dernière sortie du député camerounais Joshua Osih. En effet, dans une sortie laconique ce mercredi sur son compte Facebook, l’ancien candidat malheureux à la présidentielle d’octobre 2018 au Cameroun estime que ce drame est une grave attaque à l’éducation dans notre pays. « Le Sdf condamne avec véhémence l’assassinat des élèves et d’un enseignant dans des établissements scolaires d’Ekondo Titi aujourd’hui. Nos cœurs saignent de ce nouvel acte flagrant, honteux et insensé de terrorisme. Il n’y a rien de pire que le terrorisme ciblant l’éducation. Nos prières vont vers les blessés qui se battent pour leurs vies, ainsi que vers les familles endeuillées. Nous vaincrons ! », a posté le député Sdf à l’Assemblée nationale. Serge Espoir Matomba Surfant lui aussi dans le même sens, un autre candidat malheureux à la présidentielle de 2018 a aussi condamné l’acte. « Aucune aliénation du droit à l’éducation n’est concevable dans une République. La haine et la barbarie ont encore endeuillé dans un établissement scolaire à EKONDO TITI. Effroyable! Le terrorisme ne peut pas imposer ses règles. Que l’Etat prenne ses responsabilités », a commenté Serge Espoir Matomba.
