Crimes et exactions : inquisitions et cabales des ong contre l'armée

Calomnies, diabolisation, manipulations de faits, collusion d’intérêt, rapports biaisés et partisans, ce sont là les stratagèmes mis en place par certaines organisations internationales à la solde d’officines obscures en duplicité avec les séparatistes pour incriminer la grande muette. Il y a quelques jours l’armée camerounaise a été accusée par un rapport de Human Right Watch (HRW) d’avoir perpétré lors d’une attaque, le 1 er mars 2020, des viols sur une vingtaine de femmes dont quatre handicapées, d’avoir tué un homme et fait arrêter 35 autres dans la localité d’Ebam, département de la Manyu, région du. Sud-Ouest. Dans cette démarche il est également signalé que les présumés soldats ont incendié une maison, pillé de nombreuses propriétés. Devant ce qui passe pour de la délation savamment orchestrée, comment comprendre que pour une attaque qui a eu lieu il y a plus d’un an, HRW ait choisi de s’entretenir par téléphone entre le 1er août et le 5 janvier 2021s avec des personnes dont la certitude l’implication dans lesdits évènements est difficile à prouver. Comment une Ong qui se veut sérieuse et crédible, peut porter de tels accusations sur la base de fait d’une telle légèreté alors qu’ils ont pourtant, des autorisations officielles pour descendre et faire des enquêtes dans ces zones de conflits. Dans cette volonté délibérée de nuire, comment comprendre que l’attaque d’Ebam, perpétrée 16 jours après l’incident de Ngarbuh, dans la région du Nord-Ouest, dans lequel des soldats étaient impliqués, provoquant un tollé dans l’opinion publique, n’ait eu un écho véritable qu’un an après. Ne se-raient-ce-pas des machinations de ces Ong pour un procès kafkaïen à l’endroit de l’armée camerounaise ? On se rappelle également que le même HRW a accusé le 10 janvier dernier et sans preuves, les soldats camerounais d’avoir tué au moins neuf civils dans la ville de Muyuka, Sud-Ouest. Face au peu de sérieux de ces accusations mensongères revêtent, un communiqué officiel de l’armée camerounaise est venu récuser toutes ces affabulations et allégations erronées. Le document reconnait cependant que des soldats avaient conduit une opération dans la zone sans toutefois porter atteintes à l’intégrité physique des civils comme le laisse croire l’Ong en question. A cette suite, l’armée a d’ailleurs fait état de nombreuses preuves qu’elle détiendrait sur des cas de fabrication de fatras d’images macabres et autres preuves faites de toutes pièces par des leaders terroristes en complicité avec ces Ong pour lui imputer certains de leurs abus de crimes. N’étant pas exempte de tout reproche, elle a dû frapper fort sur les récalcitrants incriminés dans des actes avérés fondées. Sur des agissements contraires aux consignes militaires et au respect des droits de l’Homme, les contrevenants ont été durement sanctionnés afin de remettre de l’ordre et la discipline dans ses rangs.


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