Les rapports écrits au vitriol des organismes internationaux sur le pays, chargent les forces de défense pendant qu’ils encensent l’action terroriste. «Il u a quelque chose d’incompréhensible et même de pernicieux avec les rapports que certaines ONG pondent sur le Cameroun ces derniers temps (…) Cette attitude est d’autant plus incompréhensible que certaines de ces ONG ont une réputation établie. D’où donc la question de savoir pourquoi ces institutions pourtant respectées à travers le monde, peuvent-elles s’exprimer avec autant de légèreté sur les questions qui touchent à la vie des populations, à l’unité et à la sécurité d’un Etat ». Globalement, c’est l’indignation à laquelle sont désormais résolus les Camerounais qui voient chaque jour qui passe, leur pays trainé dans la gadoue par ces organismes sous le prétexte de défendre les droits de l’Homme. Pourtant, les preuves de connivence entre les bandes criminelles qui sèment terreur et désolation parmi les populations des deux régions anglophones et certains organismes internationaux sont établies. L’interpellation le 24 février 2020 par exemple, d’un dangereux terroriste sécessionniste dénommé Nfor Yacubu, et l’exploitation de son téléphone portable, ont permis d’établir que l’intéressé entretient d’étroites relations de complicité active avec Madame Ilaria Allegrozi chercheuse à Human Rights Watch, ateure du rapport au vitriol sur les évènements de Ngarbuh. C’est donc dans le but de distraire l’opinion, que l’ONG publie le lendemain de cette arrestation, le brûlot dans lequel l’armée est accusée « du meurtre de 21 personnes civiles dont une femme et treize enfants». Cette attitude de Human Rights Watch est devenue récurrente ces dernières années chez nombres d’organismes internationaux. Visiblement, certains d’entre eux se rendent coupables de jeu trouble visant à déstabiliser le Cameroun rendant suspecte cette coopération humanitaire. Début janvier 2020, un contrôle inopiné effectué par l’armée dans un convoi « humanitaire » avait permis de découvrir outre du riz, savons et boites de conserve, officiellement déclarés, des caisses de munitions, des paires de jumelles et des fusils d’assaut et des téléphones androïds dissimulés dans la cargaison. Bien avant, c’est une ambulance d’une agence humanitaire qui était appréhendée avec à son bord, trois dangereux terroristes recherchés par les services de sécurité et une importante quantité d’armes de guerre. Des faits auxquels il faut ajouter la publication de statistiques erronées sur le nombre de déplacés internes ou encore sur les victimes de cette «sale guerre ». D’autant plus que la semaine dernière, une personne annoncée morte dans le cadre de cette crise, dénonçait dans une radio à Douala, le caractère mensonger des informations de cette Ong. Face à cette campagne manifeste de désinformation et de diabolisation, le gouvernement de la République « dénonce fermement cette démarche, qui illustre sans conteste toute la mauvaise foi de ces organisations, inlassablement déterminées à porter atteinte à l’image du Cameroun et à la stabilité de nos institutions ».
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