Le géniteur a pris l’adolescente comme objet sexuel depuis qu’elle a 9 ans. Elle aurait, de son propre aveu, «subi les pires atrocités et sévices sexuels» et la maman, complice passive laisse entendre que la petite fille a contracté le VIH-Sida. Le présumé violeur nie les faits même s’il est aujourd’hui placé en garde à vue à la police judiciaire de Bonanjo et la victime dont la maman a finalement pris conscience redoutent des manœuvres qui vont permettre aux pervers de se soustraire des mains de la justice. La petite Solange âgée d’à peine 14 ans aujourd’hui relate ce qu’elle a vécu au cours des cinq dernières années : «la première fois, il m ‘a dit vient dans ma chambre, masses moi le dos, ce que j’ai fait, après il m’a couché sur son lit et j’ai crié. Il a mis son pénis dans mes fesses, il a vu que ça n ’entrait pas après il a mis les doigts. Comme je continuais à crier, il a sucé ma bouche avec ses lèvres et j’ai craché dans sa bouche. Il ne faisait que mettre les doigts…». Dans l’enquête réalisée par nos confrères d’Equinoxe TV, il ressort que «l’homme va répéter à volonté son acte pervers jusqu ‘au moment où il parvient à s’introduire dans l’intimité de sa fille». «Un jour quand ses doigts sont entrés, il a mis son pénis. Je n ’ai pu parler de cela à personne parce qu’à chaque fois que j’ai essayé d’en parler à mes sœurs, notamment ma première grande sœur, me tapait violemment. J’avais maintenant peur de lui dire ça. Mais auparavant, elle a contacté mes tantes qui sont en Europe mais elles lui ont dit de ne pas appeler parce qu’on allait mettre mon père en prison et il va mourir là-bas…». C’est à cela que les deux fillettes se trouvent confrontées et sont dès lors obligées de se renfermer et de garder le silence. Jusqu’à ce qu’une cousine décide de sortir du cercle vicieux et alerte les Forces de Maintien de l’Ordre qui interpellent le violeur. Après avoir pris conscience grâce à d’autres personnes du calvaire vécu par la petite fille, la génitrice qui avait quitté le domicile conjugal et s’était remarié va la conduire dans un centre hospitalier et la soumettre à l’examen d’un gynécologue. Ce dernier confirme la rupture de l’hymen, ainsi que les cicatrices quoi que légères, sur les parties génitales de l’enfant mais qui attestent des violences sexuelles dont elle a été victime. Au-delà des douleurs ressenties au niveau du bas ventre, les médecins remettent à la mère, une boite d’antis rétro viraux qui la met en face du statut sérologique de la fillette. Il ne reste plus qu’à espérer que le droit soit dit dans cette affaire de mœurs et d’inceste pour que les uns et les autres payent pour ce délit.
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