Pour sosthène médard lipot ,paul atanga nji n'est qu'un comédie
Le responsable de communication du Mouvement pour la renaissance du Cameroun dans une sortie croit savoir que « juridiquement » le ministre camerounais de l’Administration territoriale ne remportera pas la bataille avec les responsables de Survie Cameroun. Sosthène Médard Lipot, s’invite dans le débat entre Paul Atanga Nji et l’initiative Survie Cameroun Survival Initiative (SCSI). Le 28 avril dernier, le responsable de communication du parti de Maurice Kamto est l’invité de la matinale de Radio Equinoxe. Dans son argumentaire, il désavoue les différentes sorties du patron de la territoriale au Cameroun. «Il n’est pas du tout dans son droit. Il se trompe de chemin», clame celui-ci Pour soutenir son argument, il fait dans l’ironie. «Paul Atanga Nji me rappelle un personnage des films de Dracula qui veut faire peur mais qui en réalité n’est qu’un comédien», a-t-il dit. «De quoi se mêle-t-il dans l’activité des personnes morales et même civiques ?», se questionne l’enseignant d’université. Il soutient par la suite que la volonté du ministre d’interdire une telle initiative relève de la discrimination. Accusassions D’après ce cadre du Mrc, Atanga Nji n’a pas toujours fait ce qu’il faut. «Il ne s’occupe pas de son propre ministère. La direction de la protection civile qui est en charge des catastrophes n’a jamais rien fait, ni distribué un seul masque à un seul Camerounais depuis février 2020. C’est nous qui avons rappelé qu’il y a une direction de la protection civile dans son ministère, qui a un budget de plusieurs milliards. Qu’est-ce qu’il en a fait ? A quoi sert cet argent ?», clame celui-ci. Pour lui, le combat d’Atanga Nji, ne relève plus de la politique, « c’est de la sorcellerie », ajoute-t-il. «Pourquoi Monsieur Paul Atanga Nji tremble-t-il ? Qu’il s’en réfère à son saint patron pour savoir qu’effectivement le bon sens est la chose la mieux partagée au monde. Jamais on n’oblige les gens à faire ce qu’ils ne veulent pas», conclut l’homme politique.
