Mboua mssock : ‹‹ je suis le mieux préparé pour pouvoir gouverner le cameroun...››
Selon l’activiste politique, aucun homme politique connu aujourd’hui n’est prêt à diriger le pays. Ce 21 octobre 2019 marquait le troisième anniversaire triste de l’accident de train d’Eséka. Une occasion pour des politiciens de revenir sur cette catastrophe qui a fait officiellement 79 morts et 600 blessés. C’est le cas de Mboua Massock, un activiste Politique. « La catastrophe d’Eseka est simplement la continuité de ce qu’on voit au Cameroun. On soigne les plaies sans prévoir les maladies », pense-t-il. Il était invité de matinale sur une radio privée émettant depuis Douala. « Le grand dialogue national ne m’a pas intéressé » Mboua Massock s’est également exprimé sur le grand dialogue national (GDN), son ambition politique… D’abord sur le GDN. Le Coordonnateur du courant des refondateurs de l’UPC dit n’avoir pas suivi les assises. « Le grand dialogue national ne m’a pas intéressé (…). Ce sont les troubadours qui y étaient. Ces mêmes personnes doivent répondre de la situation actuelle du Cameroun », tance le politicien. « Le Combattant Mboua Massok ne pense qu’au Cameroun » L’upéciste s’est ensuite, exprimé sur son ambition politique. Il dit ne penser qu’au Cameroun et non à autre chose. « Le Combattant Mboua Massok ne pense pas à autre chose qu’au Cameroun », rassure-t-il. Pour finir, MBoua Massock pense être le mieux préparé pour gouverner le Cameroun après Paul Biya. « Je suis le mieux préparé au Cameroun aujourd’hui, pour pouvoir gouverner », déclare-t-il. Avant de se justifier : « Parmi les hommes politiques qui sont connus aujourd’hui, aucun n’est prêt à diriger ce pays ». L’activiste politique lance les « villes mortes » du début des années 1990. Une opération qui secoue le régime de Paul Biya. Il tient sa réputation de son jusqu’au-boutisme lors des marches organisées lors de ces opérations villes.