Message D'aurevoir du Colonel Badjeck ancien chef division de la communication Mindef.
''Bonjour, j'ai pris un peu de recul entre temps, pour faire surtout le vide et me détacher d'une fonction qui me collait à la peau. Des ennemis ont trop vite triomphé, pensant que je pouvais être déçu de ma situation actuelle. Je voudrai dire que le seul souvenir qui me restera comme un trophée et de manière résiliente, après 8 ans passés à la DIVCOM, (ce qui est le record absolu), est le témoignage de satisfaction que m'a fait monsieur le Ministre Délégué à la Présidence chargé de la Défense au cours de mon installation. Un témoignage bref, sincère et élogieux qui récompensait 8 années de lutte contre les imposteurs de la République. Mais en toute chose il y a une fin, et il faut savoir tirer du bonheur en ce que nous avons fait, surtout quand cela a été fait avec loyauté et abnégation. Je n'ai sûrement pas été infaible. Je vous remercie tous pour votre indulgence, je remerrcie surtout et d'abord les combattants de la toile, ceux qui m'ont encouragé et soutenu, les républicains, et les patriotes. Nous ne quitterons jamais le bateau. Nous sommes des combattants de conviction et non de poste. Ne laissons jamais l'ennemi nous vaincre. En 8 ans, je me suis construit une image qui ne m'appartient plus. Même si je devrais prendre ma retraite dans quelques jours, sans que ce ne soit une sanction, car le 5 avril prochain j'aurai 58 balais, mes forces seront investies avec vous pour continuer le combat de cette belle défense populaire, chère à notre pays. Maintenant, aux délateurs, à tous ceux qui auront passé leur temps à m'insulter, voyez-vous, je suis fier d'avoir mené le bon combat, et je ne m'arreterai sous aucun prétexte. Dès que les institutions seront attaquées, je me joindrai à la cohorte. A toi qui te reconnais sous cette coupole, je dois te dire comme Antoine de St-exupéry, " si tu diffères de moi mon frère, loin de me léser, tu m'enrichis". Que n'ai-je pas vu et entendu? Insultes, railleries, calomnies... la bonne nouvelle est que je vous pardonne, et j'éprouve de l'aisance à réaliser que vous vous sentiez heureux dans l'abjection, c'est votre droit. On se reverra certainement. Pour les copains des fora, je ne laisse rien, je ne suis pas parti. Les Fake news sont une gangrène qu'il faut tuer. A mon cadet, le tout nouveau DIVCOM, je lui souhaite le meilleur. A très vite.'' Colonel Badjeck