B-news1 : ernest obama dans la maille des requins

La campagne de sabotage menée par Canal+ contre le nouveau- né des médias camerounais vise à faire tomber le journaliste. Trafic d’influence, chantage, médisances et intimidations passent en mode usuel pour offrir la tête d’Ernest Obama sur un plateau en or de quelques satrapes de Yaoundé. La métaphore argumentative des noces de Canaan, inspire le cas du journaliste dans lequel le bal masqué des requins joue le mélodrame avec pour épilogue la chute de la cible. « Canal+ … employé pour déchoir Ernest Obama Quoi de plus convenable que Canal* pour faire clouer au sol le média qui prenait son envol dans l’univers médiatique turbulent camerounais. Dans le viseur des acteurs le média et son promoteur subissent une course folle qui vise à l’arrivée à réduire le directeur général peu importe le procédé d’attribution de sa peine. Pour quelle raison ? La déconnexion de B- newsl de Canal+ porte un coup dur au média qui réussissait rapidement à croître en aura auprès des consommateurs de la télé séduits par la diversité de ses programmes et la qualité de ses invités. Une réussite à la base et au centre duquel Ernest Obama fait l’unanimité pour être le maître à tout faire bien qu’il soit entouré par une équipe dynamique. Le retrait de la chaîne du bouquet appartenant au groupe Bolloré a fait perdre à B-news1 sa visibilité de même qu’il éloignerait des partenaires sollicitant un espace pour la publicité. Le système baisse la production des capitaux et fait cheminer l’entreprise vers sa ruine. L’enjeu du moment ambitionné par les tortionnaires d ‘ Ernest Obama aurait réussi à le mettre en désaccord avec son employeur dubitatif sur le risque de perdre un important investissement dans une guerre où son innocence lui coûte cher. Une source proche de B- newsl et qui requiert l’anonymat énonce “ un malaise entre Ernest Obama et le Patron. Le promoteur de B- news est véritablement sous pression. Des personnes influentes du serial et proches de Jean Pierre Amougou Belinga propriétaire du groupe l’Anecdote et ancien employé d’Ernest Obama exigeraient au promoteur de B-news de contraindre Monsieur Obama à la démission. Il y’a donc un choix à faire entre continuer la collaboration avec Ernest Obama et perdre définitivement le signal de Canal* et de le faire partir pour être à nouveau branché au réseau parisien. Ernest Obama sur le chemin du calvaire « On aurait déjà retiré la voiture de service au sujet à polémique ». Le dilemme auquel ferait face le promoteur du média à qui l’on impose la maltraitance d’un employé qui est plus le directeur général de son entreprise se situe à la marge de l’éthique et de toute déontologie professionnelle. Dire qu’il s’agirait d’une immixtion incongrue dans le choix du personnel et le fonctionnement d’une structure serait poli. Non seulement la manœuvre brise la carrière de toute l’équipe des travailleurs de B- newsl mais aussi et surtout elle force la ruine d’un homme d’affaires en plein essor dans le monde médiatique et démocratique. Ainsi Ernest Obama se trouve secoué par les vents violents à l’origine des faits qui -demeurent jusqu’ici un mystère pour le grand public.


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