En prélude à ladite session prévue le 11 avril 2023, un groupe de travail de la chambre haute planche sur les dispositifs d’accueil et du déroulement de l’événement.
Pas de répit cette semaine pour le groupe de travail du Sénat sous la coordination du conseiller technique No.1, Roland Ngo’o. Selon ce dernier, l’équipe de travail en question organise et apprête la documentation, le matériel et les accréditations pour la presse. À l’immeuble de l’Agence de régulation des Marchés publics (ARMP) qui abrite les services du Sénat, des concertations sur le plan sécuritaire et disciplinaire s’enchaînent pour faire de la session ordinaire de plein droit qui s’ouvre mardi prochain, un succès. Une session qui marque la fin du mandat des sénateurs de la 2e législature 2018-2023 et l’entrée en fonction de ceux de la 3e mandature 2023-2028.
Vérification des incompatibilités
Il s’agit d’un préalable à la validation du mandat des sénateurs, en particulier celle des nouveaux qui recevront leurs attributs pour la première fois mardi prochain. D’après le Pr Aboya Manassé, politologue, il incombe au bureau d’âge du Sénat de vérifier les cas d’incompatibilités et la mise en place du nouveau bureau de la chambre haute. « Cette étape est fondamentale, elle peut être fastidieuse ou non en fonction des cas signalés, nous pouvons avoir droit à une séance plénière régulièrement consacrée à l’élection du bureau définitif du Sénat » a-t-il relevé. Les incompatibilités dont il est question sont édictées par les articles 156 et à 167 du Code électoral.
En attendant le grand jour, mardi 11 avril, la direction des services communs du Sénat s’attelle à réserver un accueil des plus chaleureux aux nouveaux sénateurs.