C'est une révélation inimaginable à laquelle l'on ne puisse s'y attendre.
Des gendarmes censés défendre la nation camerounaise se seraient-ils alliés aux ambazoniens contre leur concitoyens ?
Une révélation gravissime fait état de ce que des gendarmes ont fourni des munitions de guerre aux ambazoniens dans la crise anglophone.
Ils seraient au nombre de 20 gendarmes à être interpellés et écroués. La nouvelle indigne plusieurs internautes qui indiquent d'ailleurs que ces gendarmes « ont certainement des complices hauts gradés ».
« Les enquêtes sont en cours, j'ai apris que le telephone de No Pity a certain numero de telephones », indique une source.
« Raison pour laquelle cette guerre ne finira pas d'aussi tôt, car certains en ont fait le font de commerce », a déploré un internaute.
« C'est peut être un plan des services Camerounais pour identifier et localiser les Ambazos qui a mal tourné ? », se demande un autre de façon ironique.
Il faut noter que l'article 61 du code et règlement des forces armées, stipule pour les faits de trahison, qu'est puni de la peine de mort, tout militaire camerounais ou au service du Cameroun qui:
(1) porte les armes contre le Cameroun.
(2) livre à l'ennemi les approvisionnements de l'armée, les plans ou places de guerre ou arsenaux maritimes, des ports ou aéroports militaires, soit le mot d'ordre, les codes ou secret d'une opération militaire, d'une expédition ou négociation.
« Est puni de la peine de mort, tout militaire qui:
entretient des intelligences avec l'ennemi dans le but de favoriser ses entreprises;
participe à des complots dans le but de compromettre le déroulement d'une opération militaire ; provoque la fuite ou empêche le ralliement à l'occasion d'une opération militaire », indique l'article 62.