Les queens du Bikutsi vont s'affronter le 19 septembre au tribunal de première instance de Yaoundé pour une audience choc.
Source 37story
Entre amitié, coup bas, jalousie et conflit de leadership, nos deux stars s'affrontent. Coco Argentée a choisi de briser le silence et de s'exprimer sur la toile, concernant ses différents avec Lady Ponse. Ce qui lui a valu une convocation au tribunal. La nouvelle affaire judiciaire secoue le monde du showbiz camerounais. Lady Ponce a déposé une citation directe au tribunal de première instance de Yaoundé centre administratif, convoquant sa consœur à comparaître à l’audience prévue le 19 septembre prochain.
Cette action en justice découle d’un différend qui oppose les deux artistes depuis 2020. La citation directe, largement partagée sur les médias sociaux, accuse Coco Argentée d’outrage à la tribu et à l’ethnie, diffamation, injures, et propagation de fausses nouvelles dans le but de porter atteinte à la paix publique. Ces accusations font référence à une publication de Coco Argentée sur Facebook en juillet 2020, où elle avait appelé Lady Ponce « Poncefack ».
Dans cette publication, Coco Argentée avait critiqué Lady Ponce pour son comportement envers d’autres artistes et l’avait exhortée à demander pardon à Dieu pour le mal qu’elle aurait fait aux gens. Cette publication avait déclenché une vive polémique dans le milieu artistique camerounais.
Les tensions ne sont pas retombées 3 ans plus tard
Trois ans après le début de cette affaire judiciaire, les deux divas du rythme bikutsi n’ont toujours pas fumé le calumet de la paix. Dans une récente sortie polémique relayée par Lebledparle.com, Coco Argentée a de nouveau accusée Lady Ponce d’être à l’origine de l’annulation de ses concerts dans la diaspora au cours de l’année 2023. « Vous m’avez annulé 105 spectacles, Majoie Ayi a fait 2 mois à mbeng vous avez interdit ses prestations. K-Tino a combien de spectacles? La seule qui fait ce qu’elle veut c’est qui? », a lancé la chanteuse sur les réseaux sociaux. C’est donc à présent devant un tribunal que Corine Ntyame, de son vrai nom, devra s’expliquer.