Accusé de viol, le maire de Yaoundé 1 er se dit victime d'une cabale

Cette histoire relève de la plus pure fiction, selon Jean Marie Abouna.

 

Jean Marie Abouna

Depuis quelques temps, des informations selon lesquelles le maire de Yaoundé 1er et Président de la Section RDPC du Mfoundi 1, Jean Marie Abouna, aurait violé une jeune étudiante en quête d’un poste de travail à la mairie circulent sur la toile.

Dans un texte parvenu à notre rédaction, l’édile de Yaoundé 1er se dit victime d’une cabale. Car, « en septembre 2021, les auteurs de cette histoire qui relève de la plus pure fiction, avaient été démasqués, avec en prime, une rixe des cybercriminels chargés du photomontage, au lieu-dit Bonamoussadi à Ngoa- Ekellé( Yaoundé), pour le partage de l’argent offert par les commanditaires de cette histoire inventée de toute pièce, pour nuire à l’image de Jean Marie Abouna qui venait alors de remporter avec brio, le poste de Maire de Yaoundé 1er, au terme des élections municipales de févier 2020 ».

En plus, « l’étudiante prétendument violée, qui du reste demeure un personnage de roman, ne s’est jamais manifestée, alors que l’opinion, à l’ère des réseaux sociaux, aurait bien voulu la voir faire la grand déballage. Mais elle se fait toujours désirer jusqu’à ce jour ».

Les commanditaires

 

La cabale contre Jean Marie Abouna intervient au moment où le maire de Yaoundé 1er est en mission au Brésil, à Rio de Janeiro. Il participe aux rencontres économiques et d’affaires dans la capitale brésilienne. Il y présente le potentiel économique et les nombreux atouts de sa commune, pendant des échanges avec les industriels de la Fédération des industriesls de Rio de Janeiro.

Selon l’entourage du maire, les commanditaires de la cabale, sans doute déçus de voir un Jean Marie Abouna qui ne leur offre aucune occasion de chute, ont toutefois le mérite de présenter le Maire de Yaoundé 1er comme « un prédateur sexuel » qui abuserait de sa position dominante pour contraindre les dames de la commune à des rapports sexuels illicites avec lui, non sans préciser qu’il se donne des libertés d’attoucher ces candides femmes.


Source : Cameroon Tribune


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